Comme Michel Polnareff en 1966, hors des conventions, Soumise nous pourrions chanter...
J'aimerai simplement faire l'amour avec toi *
Il est des mots qu'on peut penser
Mais a pas dire en societé
moi je me fou de la societé
et de sa prétendue moralité
j'aimerais simplement faire l'amour avec toi
j'aimerais simplement faire l'amour avec toi
ohohoh oh oh oh ohoh
Bien sur moi je pourais te dire
Que je n'vis que par ton sourire
Que tes yeux sont de tous les yeux les plus bleus
Nanana na na na nana
Moi je veux faire l'amour avec toi
Moi je veux faire l'amour avec toi
D'aucun diront "on ne peut pas
parler à une jeune fille comme ça"
Ceux là le font mais ne le disent pas
Moi c'est un rêve, et ce soir c'est pour ça
Que moi je veux faire l'amour avec toi
Que moi je veux faire l'amour avec toi
ohohoh oh oh oh ohoh
* Sortie : juin 1966 chez Disc’AZ (EP 1053)
Pochette : Michel Laguens
Et aussi : Frank GÉRALD - Frank THOMAS (Auteur-Compositeur) - Michel LAGUENS (Photographe) - Charles BLACKWELL (Arrangeur) - Jean BOUCHÉTY
Face A : Love me please love me (M. Polnareff - Frank Gérald - M. Polnareff)
Face B1 : L’amour avec toi (M. Polnareff)
Face B2 Ne me marchez pas sur les pieds (M. Polnareff - Frank Thomas)
Crédits complémentaires : Directions musicales: Charles Blackwell et Jean Bouchety
Il suffirait de bien peu de changement pour que ce titre ne devienne un hymne à la soumission, tant il est déjà un hymne à la liberté et à la vérité...
Il y a un regard sur le monde bdsm... un peu convenu, certains expliquent du bout des lèvres ces "déviances".
Pourrions-nous être fière d'assouvir notre soumission, comment faire comprendre, que femmes soumises, nous sommes des femmes libres, des femmes libérées qui assumons jusqu'au bout nos désirs, notre sexualité. Que la soumission n'est pas latorture et la violence et ne doit pas conduire à l'avillissement.
Il est plus gratifiant d'être femme soumise et heureuse que d'être conforme et mal dans sa sexualité. Femme soumise ne nous laissons pas enfermées dans ce carcan des femmes maltraitées.
Si il y a des bourreaux parmi nos Maîtres, nous devrions ne pas cautionner ces gestes... il faut faire cesser l'hypocrisie, la sexualité n'a pas de règles que celle du respect.
Nous faisons l'amour entre adultes consentants comme nous le souhaitons.
Cette femme n'est pas une femme soumise dans une relation de Maître et soumise acceptée, cette femme est une femme battue. Réagissons ! *
* Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail
ou Mettez fin au cycle de la violence
Fervente partisane du vélo, en ville, alors que mon Maître serait plutôt "esclave" de sa voiture... il fut naturel que je découvre le plaisir de la bicyclette sans culotte.
La bicyclette inspire depuis longtemps, il semblerait.
Alors, je me devais d'enfourcher mon vélo urbain sans culotte, la chair de mon cul directement posée sur la selle en cuir de mon destrier écologique. Le vélo m'excite, il me suffit de m'assoir sur la selle pour que je sois toute frémissante et que je doive me caresser pour me faire jouir en arrivant à bon port.
Alors faire du vélo sans culotte, cela ne pouvait que m'exciter sévèrement. Impossible de ne pas succomber au massage que fait le siège sur mon clitoris... Pédale droite, pédale gauche, un léger déhanchement qui provoque le massage délicat. Je sens mon corps s'échauffer sous le désir montant. Oui, il me suffit de faire un léger détour, allongeant à peine mon chemin de retour et je pourrais ainsi jouir directement sur ma selle, oh, oui !! Mes fesses collent au cuir et mon clitoris durcit avec le frottement... J'oublie que je ne suis pas seule dans la rue... il n'y a plus que mon vélo et moi. Je fais attention cependant à emprunter des petites rues pour éviter la circulation... et ne pas prendre trop de risque. Pourquoi cette voiture qui me suit ne me double pas... oh, tant pis, peut être que son chauffeur préfère rentrer doucement chez lui... en admirant les vitrines déjà mises à l'heure du Père Noël. Mais non, il ne peut pas se douter, rien de permet de deviner que je suis cul-nu sur ma selle... et puis si il suspecte quelque chose, je m'en moque. Il n'y a pas de mal à se faire plaisir en vélo. Je suis cavalière et j'avoue avoir eu parfois le bonheur de me faire plaisir à cheval aussi, la sensation est assez proche.
D'abord, je me sens devenir chaude, de plus en plus... mon corps tremblotte... mon sexe est chaud et humide... ma mouille coule sur la selle, me mouille les cuisses. Je me frotte de droite à gauche sur la selle, appuie mon clitoris et tourne doucement, oh je me sens collée à la selle. Que c'est bon, j'ai envie de passer ma main sur mes lèvres, de me caresser le Mont de Vénus, de me chatouiller le clito... encore, encore, plus vite, plus fort, encore, j'ai envie, oui, je vais venir, oui, encore, encore, ouuuuuuuuuui, j'ai joui. Á bicyclette !!!
Racontez-moi, ce que cela vous inspire, avez-vous déjà goûter à ce plaisir ou peut-être à cheval ?
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