Il y a des jours que l'on aimerait voir finir vite...
© La pudeur d'Antonio Corradini
Journal intime de l'exploration D/s. Amoureuse de la vie, de l'Homme de ses qualités, de ses ombres.Il y a eu ma découverte d'un monde de l'ombre, d'envies inavouées puis il y eu une rencontre plus étrange.. et Il est devenu est mon guide. Il ressemble à ML, à O. Oui, cet homme existe, Il est ici chez Celui.Il vous semblera être ici, distant, lointain, impossible. Sans CELUI, Harmony n'aurait jamais franchit ces portes et surtout ne serait pas épanouie, heureuse et libre.
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RépondreSupprimerCher O
RépondreSupprimerOh, j'avance sans doute trop maladroitement, trop lentement mais ...
Il n'est jamais facile de trouver cet O qui comprenne, qui accepte, qui fait avancer...
Puis, il y a la vie, le temps... mais je suis ravie de vous lire et de vous savoir passant par ici.
Chère Harmony,
SupprimerJe ne puis croire en effet que votre silence ne soit que maladresse résiduelle...il est si persistant.. Je viens presque chaque jour vérifier que vous n'avez pas repris la parole, rompu votre mutisme. Peut être êtes vous dans le chagrin, peut être êtes vous dans la joie généreusement égoïste de votre accomplissement. Comment savoir...?
J'ai été trahie douloureusement et l écriture me fut salvatrice. Cette histoire là m a faite revenir à un autre moi-même, douloureusement. Cela pour vous dire que si c'est la peine qui tisse votre silence, elle peut être elle aussi dicible et pointer d' autres chemins.
Bien sororairement,
O
Chère Harmony,
SupprimerJe vous avais écrit une longue réponse qu hélas les méandres numériques ont absorbée.
Bien qu'il me soit difficile de me répéter - c était une source jaillissante qui ne peut se redire - vous répéter néanmoins que votre voix manque, que votre silence me fait souci.
Qu'il soit tressé de joie ou de peine....faites en part. Même à quart de mots.... J'ai connu la terrible solitude des abandons et je m'en voudrais vraiment de laisser une soeur se penser seule au monde.
Sororairement donc,
O.
Cette fois c'est moi qui m'inquiète de votre silence...
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