Promis, je reviens vite écrire, partager et continuer de rapatrier tous les articles d'Harmonysoumise ici.
En attendant je confie à Betty le soin de vous souhaiter un Joyeux Noel...
Journal intime de l'exploration D/s. Amoureuse de la vie, de l'Homme de ses qualités, de ses ombres.Il y a eu ma découverte d'un monde de l'ombre, d'envies inavouées puis il y eu une rencontre plus étrange.. et Il est devenu est mon guide. Il ressemble à ML, à O. Oui, cet homme existe, Il est ici chez Celui.Il vous semblera être ici, distant, lointain, impossible. Sans CELUI, Harmony n'aurait jamais franchit ces portes et surtout ne serait pas épanouie, heureuse et libre.
mercredi 24 décembre 2014
mardi 23 décembre 2014
The Curse : une exposition à voir...
Une fois n'est pas coutume, cette fois, je ne vous dirais rien de mes états d'âme, que ceux qui s'inquiète de mon presque silence se rassurent... Tout va bien.
Aujourd'hui, je voudrais que vous alliez découvrir une exposition photo dont le sujet rarement traité en photo et en général souvent tu par l'art.
Une passionnante exposition sur les Règles, oui une photographe, Marianne Rosenstiehl a osé faire des clichés très beaux, émouvants, avec une tendresse, un humour et une indécente intelligence.
C'est à voir vite, encore quelques jours (jusqu'au 24 décembre) à la galerie Le petit espace à Paris.
© Pour la photo, ne voulant pas utiliser une des photos de l'exposition, je n'arrivais pas à faire un choix. J'ai préféré ce rubis, rouge sang précieux !
Aujourd'hui, je voudrais que vous alliez découvrir une exposition photo dont le sujet rarement traité en photo et en général souvent tu par l'art.
Une passionnante exposition sur les Règles, oui une photographe, Marianne Rosenstiehl a osé faire des clichés très beaux, émouvants, avec une tendresse, un humour et une indécente intelligence.
C'est à voir vite, encore quelques jours (jusqu'au 24 décembre) à la galerie Le petit espace à Paris.
© Pour la photo, ne voulant pas utiliser une des photos de l'exposition, je n'arrivais pas à faire un choix. J'ai préféré ce rubis, rouge sang précieux !
jeudi 11 décembre 2014
Une Chose qui a du chien...
Mon Maître l'appeler Maître A me paraît plus élégant , A pour amour, amant , apprendre... Maître A m'a demandé de devenir sa Chienne et de porter un collier...et là les questions sont arrivées.
Je, Harmony, ne pouvais pas être une chienne battue, humiliée...
J'ai fait part de mes doutes à mon Maître, qui ne refuse jamais le dialogue. Il comprend mon trouble et mes hésitations.
Il souhaite que je sois soumise et que je sois Chienne lors de jeux... mais cela me troublait.
Notre relation est d'abord celle de deux êtres humains souhaitant avancer ensemble et la relation Dominant soumise un moyen d'explorer...
J'avouais à mon Maître que je ne comprenais pas pourquoi faire de moi : une chienne...
J'avoue que le vocable : chienne associée à femme me fait bondir... me retourne les tripes, me donne la nausée.
Attendre ou voir écrit : chienne-pute, chienne-salope, chienne en chaleur est toujours perturbant... je sais que je vais faire bondir des Maîtres et sans dôute des soumises aussi...
Je ne suis pas certaine de la réaction de mon Maitre, mais j'ai confiance en lui, c'est un Maître raffiné, élégant, ferme et juste.
Il voulait que j'y réfléchisse... et voici ce que je lui est proposé.
Je vais être une Chienne de haute lignée, une chienne racée... jamais plus bel et plus docile animale ne se prosternera à ses pieds. Mes origines anglo-saxones sans doute me font respecter les chiens et les chevaux de façons sublimées...
J'attends le jour, où mon Maître me dira :
- Tu es ma très belle chienne, voici ton collier, je vais y attacher une longue laisse, suis-moi et reste à quatre pattes ».
J'attends le jour, où chienne fidèle et royale, c'est dans sa main que je me délecterais des mets délicats choisis délicatement par mon Maître pour sa chienne.
Repue, aimée, à ses pieds — que je ne crains pas, je ne n'imagine pas les pieds de mon Maître me frapper — je me coucherais pour le laisser se reposer attendant que sa main vienne me caresser pour me donner l'ordre tant attendu, celui d'être cet animal dont il est fier : sa Chienne-Femme.
Je propose également que me sois retiré mon collier de Chienne lorsque je reçois une punition...
Si je ne suis pas digne, je ne mérite pas de porter le collier de Chienne-Femme.
Je vais envoyer cette proposition à mon Maître et m'en remets à son jugement...
Je, Harmony, ne pouvais pas être une chienne battue, humiliée...
J'ai fait part de mes doutes à mon Maître, qui ne refuse jamais le dialogue. Il comprend mon trouble et mes hésitations.
Il souhaite que je sois soumise et que je sois Chienne lors de jeux... mais cela me troublait.
Notre relation est d'abord celle de deux êtres humains souhaitant avancer ensemble et la relation Dominant soumise un moyen d'explorer...
J'avouais à mon Maître que je ne comprenais pas pourquoi faire de moi : une chienne...
J'avoue que le vocable : chienne associée à femme me fait bondir... me retourne les tripes, me donne la nausée.
Attendre ou voir écrit : chienne-pute, chienne-salope, chienne en chaleur est toujours perturbant... je sais que je vais faire bondir des Maîtres et sans dôute des soumises aussi...
Je ne suis pas certaine de la réaction de mon Maitre, mais j'ai confiance en lui, c'est un Maître raffiné, élégant, ferme et juste.
Il voulait que j'y réfléchisse... et voici ce que je lui est proposé.
Je vais être une Chienne de haute lignée, une chienne racée... jamais plus bel et plus docile animale ne se prosternera à ses pieds. Mes origines anglo-saxones sans doute me font respecter les chiens et les chevaux de façons sublimées...
J'attends le jour, où mon Maître me dira :
- Tu es ma très belle chienne, voici ton collier, je vais y attacher une longue laisse, suis-moi et reste à quatre pattes ».
J'attends le jour, où chienne fidèle et royale, c'est dans sa main que je me délecterais des mets délicats choisis délicatement par mon Maître pour sa chienne.
Repue, aimée, à ses pieds — que je ne crains pas, je ne n'imagine pas les pieds de mon Maître me frapper — je me coucherais pour le laisser se reposer attendant que sa main vienne me caresser pour me donner l'ordre tant attendu, celui d'être cet animal dont il est fier : sa Chienne-Femme.
Je propose également que me sois retiré mon collier de Chienne lorsque je reçois une punition...
Si je ne suis pas digne, je ne mérite pas de porter le collier de Chienne-Femme.
Je vais envoyer cette proposition à mon Maître et m'en remets à son jugement...
Si, il ne tenais qu'à mois à ce jour, je ne serais pas chienne même racée mais jument.
Cependant après plusieurs mois... ce texte serait écrit différemment
© Texte déjà publié sur Harmonysoumise en Janvier 2014...
Délicatesse pour parvenir à la libérer...
Harmony fut d'abord soumise B, c' est une soumise débutante, elle n'a jamais eu de Maître... mais elle n'est pas une très jeune femme. Harmony vient d'avoir 49 ans au début de son début d'apprentissage à la soumission en Août 2009.
Harmony serait comment dire une femme moderne : diplômée Bac plus 5, cultivée, ayant vécue à l'étranger, de double culture français et anglo-saxon.
Elle se considère libérée, moderne, progressiste et même assez féministe. Harmony est un esprit libre. Intellectuellement, elle est jusqu'au boutiste ! Harmony est écologiste et s'initie à la pensée tantra ou tantrique.
La profession d'Harmony, est un métier plutôt agréable, varié, gratifiant, qui l'oblige à voyager beaucoup, l'amène à voyager en Europe, à découvrir de beaux hôtels, de belles tables etc... Harmony, je devrais dire B simplement ( à l'époque) voulait partager de troublants moments... Elle aime écrire et donc eu l'idée de créer Maître A.
Harmony est une vraie femme Cancer... avec les défauts et les qualités du Cancer.Ne riez pas, le cancer est un imaginatif, un cérébral et un passionné ! Alors imaginez-la se dédier à sa nouvelle aventure de soumise.
Harmony est une femme douce, plus charmante que belle et elle cultive son esprit. Elle fut éveillée à la sensualité par la littérature . Sade n'a pas de secret... elle aime les nouvelles érotiques, le libertinage des Lumières. Elle a un grand sens de l'humour et de la dérision. Son humour lui fait reprendre souvent la phrase de Jess Franco : Moi le cul, ça me ravit l'âme ».
Ce texte fut écrit le 3 septembre 2009
Ajout du 11 décembre 2014 :
VOTRE PROFIL SEXUEL (de Elle) selon votre signe : Harmony est cancer La femme Cancer ne peut s'épanouir sur le plan physique, que si celle-ci est en accord émotionnel avec son partenaire, et qu’elle se sent aimée. Elle a besoin d’être l'objet d'attentions et de tendresse. Son attachement à l'image paternelle est si fort qu'elle recherche toujours, plus ou moins inconsciemment, une épaule solide, un bras protecteur. Elle n’est pas très constante dans ses envies. Elle peut être un jour passionnée, puis le lendemain vaguement indifférente, selon les variations de ses humeurs. Sensible aux ambiances, la femme Cancer peut facilement se livrer sans retenue lorsqu'elle est en confiance, mais se bloquer complètement dès que quelque chose cloche ou la dérange. Il faut beaucoup de délicatesse pour parvenir à la libérer de sa retenue. Mais la femme Cancer a une imagination débordante. Ses fantasmes sont parmi les plus fous et n’ont rien d’ennuyeux. Ils n’ont toutefois rien de pervers; elle a seulement cette grande capacité de se sentir femme jusqu'au bout des ongles lorsqu'elle est en parfaite confiance avec un partenaire.
Harmony serait comment dire une femme moderne : diplômée Bac plus 5, cultivée, ayant vécue à l'étranger, de double culture français et anglo-saxon.
Elle se considère libérée, moderne, progressiste et même assez féministe. Harmony est un esprit libre. Intellectuellement, elle est jusqu'au boutiste ! Harmony est écologiste et s'initie à la pensée tantra ou tantrique.
La profession d'Harmony, est un métier plutôt agréable, varié, gratifiant, qui l'oblige à voyager beaucoup, l'amène à voyager en Europe, à découvrir de beaux hôtels, de belles tables etc... Harmony, je devrais dire B simplement ( à l'époque) voulait partager de troublants moments... Elle aime écrire et donc eu l'idée de créer Maître A.
Harmony est une vraie femme Cancer... avec les défauts et les qualités du Cancer.Ne riez pas, le cancer est un imaginatif, un cérébral et un passionné ! Alors imaginez-la se dédier à sa nouvelle aventure de soumise.
Harmony est une femme douce, plus charmante que belle et elle cultive son esprit. Elle fut éveillée à la sensualité par la littérature . Sade n'a pas de secret... elle aime les nouvelles érotiques, le libertinage des Lumières. Elle a un grand sens de l'humour et de la dérision. Son humour lui fait reprendre souvent la phrase de Jess Franco : Moi le cul, ça me ravit l'âme ».
Ce texte fut écrit le 3 septembre 2009
Ajout du 11 décembre 2014 :
VOTRE PROFIL SEXUEL (de Elle) selon votre signe : Harmony est cancer La femme Cancer ne peut s'épanouir sur le plan physique, que si celle-ci est en accord émotionnel avec son partenaire, et qu’elle se sent aimée. Elle a besoin d’être l'objet d'attentions et de tendresse. Son attachement à l'image paternelle est si fort qu'elle recherche toujours, plus ou moins inconsciemment, une épaule solide, un bras protecteur. Elle n’est pas très constante dans ses envies. Elle peut être un jour passionnée, puis le lendemain vaguement indifférente, selon les variations de ses humeurs. Sensible aux ambiances, la femme Cancer peut facilement se livrer sans retenue lorsqu'elle est en confiance, mais se bloquer complètement dès que quelque chose cloche ou la dérange. Il faut beaucoup de délicatesse pour parvenir à la libérer de sa retenue. Mais la femme Cancer a une imagination débordante. Ses fantasmes sont parmi les plus fous et n’ont rien d’ennuyeux. Ils n’ont toutefois rien de pervers; elle a seulement cette grande capacité de se sentir femme jusqu'au bout des ongles lorsqu'elle est en parfaite confiance avec un partenaire.
J'aurai pu vous aider ...
Maître exige que je sois en jupe et sans culotte, le plus souvent possible. Il accepte le port du pantalon lorsque je peux justifier ce choix vestimentaire.
Ce matin, je lui ai expliqué que professionnellement, le choix du pantalon était plus judicieux... il en a convenu et donc a accepté que je sois en pantalon...
Enfin, il y a des conditions.
Il était conciliant car j'avais aussi cousu une culotte particulière ce matin : je ne peux pas toujours ne pas porter de sous-vêtement alors ne pouvant rapidement me rendre dans une lingerie pour me procurer une culotte ou un string ouvert, j'ai pris l'initiative d'en faire un à partir d'une culotte en coton noir dont l'ouverture fut décorée de dentelle noire.
J'ai donc enfilé mon pantalon sur cette culotte percée... Mais là j'ai découvert que lorsque je marchais la couture de mon pantalon me chatouillant le clitoris...
J'en alertais Maître qui avait anticipé et qui en profita pour me lancer mon premier défi.
Puisque je devais porté le pantalon, il exigeait que je jouisse dans le métro. Comme je voulais mais en public.
Sur la ligne, je devais faire un assez long trajet, je devais réussir ce premier défi. J'avoue que j'étais partagée entre la honte et l'excitation...
En allant à mon rendez-vous, je me rendais compte qu'il ne me serait pas facile de jouir dans le métro...
Les coutures frottaient et m'excitaient seulement lorsque je marchais.
Par chance, la ligne 1 a des wagons sans porte, le métro est ouvert de la tête à la queue... je me frottais donc le sexe sur ma couture en marchant sans m'arrêter dans le métro... up & down... up & down comme disent les anglophones.
Je sentais venir le plaisir, je laissais parfois un léger soupir mais assourdi par le bruit du métro. Nous n'étions pas à l'heure de pointe et les voyageurs se succédaient mais pas la foule.
Je savais maintenant comment j'allais faire... marcher le plus longtemps possible pour chauffer le clitoris... et lorsque je me sentirais au bord du plaisir , je m'assoierai et laisserai venir l'orgasme... en me croissant les jambes très serrées sur mon sexe.
J'étais émoustillée et je voulais pouvoir avouer à mon Maître ma réussite, je ne cache rien, je ne mens pas à Mon Maître : mes réussites, mes échecs, mes doutes, mes folles idées, mes stupides idées...
Donc au retour, je n'avais qu'à appliquer le scenario : marcher, pour enflammer mon sexe.attiser le désir, exalter mon esprit... ma couture "amoureuse" me branlait le clitoris de folle façon... jamais masturbation ne m'a paru plus excitante car entourée des autres voyageurs, même si ils ne devinaient rien - ajoutait de l'intensité à mon dose plaisir.
Je sentais mes jambes chanceler, mon estomac étaient envahi de spasme... C'est à ce moment là que je me mis à chercher fébrilement une place... pour m'assoir et me laisser aller lascivement à ma jouissance. Rien isolée, mais de toute façon, mon Maître avait précisé en public...
Les places à 4 n'étaient pas libres, les places à trois non plus... j'optais donc pour une place face à une autre. Le voyageur était un homme de 50 ans environ, à l'élégance sportwear, aux yeux clairs.
Je m'assois face à lui, sors de mon sac un livre... les nouveaux intellos précaires, croise les jambes et commence ainsi à me masser le clitoris pour parvenir à avoir un orgasme.
Je me casse le visage derrière mon livre, un peu trop petit - je devrais penser à avoir un journal pour les prochaines fois.
Je me mords les lèvres pour ne pas gémir... ma respiration accélère.
- je vais venir, je vais jouir, j'ai toutes mes pensées pour mon Maître, je vais réussir Maître, pour vous, je vais jouir dans le métro... Maître, je viens, je viens oui!
J'ai une secousse dans ma jambe, laisse échapper un faible gémissement... pose mon livre sur mes genoux, ferme les yeux.
Lorsque je les ouvre, l'homme me regarde fixement.
- Vous allez bien ?
- Oui, merci
Je me sens rougir, je suis remplie de honte... je me sens licencieuse, perverse, dévergondée, libertine.
en souriant, il me lance : - Trop bien, peut-être ?
Je me lève... je ne sais plus où me mettre. Je panique, si il me connaît, ou me reconnaît, j'arrive à ma station habituelle....
Lorsque le métro s'arrête, je descend, lui aussi, il me suit je crois...
Je le sens à ma hauteur, mes joues, mon sexe me brûlent , je suis endiablée.
Il me sourit : - J'aurais pu vous aider !
Je suis confuse, troublée, déconfite, consternée, scandaleuse...
Je presse le pas, sans lui répondre, je sors de la station de métro pour entrer et me noyer au Monoprix.
Sûre qu'il n'est pas derrière moi, je rejoins mon bureau.
J'ai réussi mon premier défi. J'ai eu honte comme jamais, j'ai peur... mais quel bonheur de soumise de pouvoir raconter ma réussite à Maître. A (je m' autorise à l'écrire sur le blog)
Texte : copyright Harmony. Vous ne pouvez les reproduire sans notre autorisation. Ce texte a été écrit le 16 septembre 2009.
Ce matin, je lui ai expliqué que professionnellement, le choix du pantalon était plus judicieux... il en a convenu et donc a accepté que je sois en pantalon...
Enfin, il y a des conditions.
Il était conciliant car j'avais aussi cousu une culotte particulière ce matin : je ne peux pas toujours ne pas porter de sous-vêtement alors ne pouvant rapidement me rendre dans une lingerie pour me procurer une culotte ou un string ouvert, j'ai pris l'initiative d'en faire un à partir d'une culotte en coton noir dont l'ouverture fut décorée de dentelle noire.
J'ai donc enfilé mon pantalon sur cette culotte percée... Mais là j'ai découvert que lorsque je marchais la couture de mon pantalon me chatouillant le clitoris...
J'en alertais Maître qui avait anticipé et qui en profita pour me lancer mon premier défi.
Puisque je devais porté le pantalon, il exigeait que je jouisse dans le métro. Comme je voulais mais en public.
Sur la ligne, je devais faire un assez long trajet, je devais réussir ce premier défi. J'avoue que j'étais partagée entre la honte et l'excitation...
En allant à mon rendez-vous, je me rendais compte qu'il ne me serait pas facile de jouir dans le métro...
Les coutures frottaient et m'excitaient seulement lorsque je marchais.
Par chance, la ligne 1 a des wagons sans porte, le métro est ouvert de la tête à la queue... je me frottais donc le sexe sur ma couture en marchant sans m'arrêter dans le métro... up & down... up & down comme disent les anglophones.
Je sentais venir le plaisir, je laissais parfois un léger soupir mais assourdi par le bruit du métro. Nous n'étions pas à l'heure de pointe et les voyageurs se succédaient mais pas la foule.
Je savais maintenant comment j'allais faire... marcher le plus longtemps possible pour chauffer le clitoris... et lorsque je me sentirais au bord du plaisir , je m'assoierai et laisserai venir l'orgasme... en me croissant les jambes très serrées sur mon sexe.
J'étais émoustillée et je voulais pouvoir avouer à mon Maître ma réussite, je ne cache rien, je ne mens pas à Mon Maître : mes réussites, mes échecs, mes doutes, mes folles idées, mes stupides idées...
Donc au retour, je n'avais qu'à appliquer le scenario : marcher, pour enflammer mon sexe.attiser le désir, exalter mon esprit... ma couture "amoureuse" me branlait le clitoris de folle façon... jamais masturbation ne m'a paru plus excitante car entourée des autres voyageurs, même si ils ne devinaient rien - ajoutait de l'intensité à mon dose plaisir.
Je sentais mes jambes chanceler, mon estomac étaient envahi de spasme... C'est à ce moment là que je me mis à chercher fébrilement une place... pour m'assoir et me laisser aller lascivement à ma jouissance. Rien isolée, mais de toute façon, mon Maître avait précisé en public...
Les places à 4 n'étaient pas libres, les places à trois non plus... j'optais donc pour une place face à une autre. Le voyageur était un homme de 50 ans environ, à l'élégance sportwear, aux yeux clairs.
Je m'assois face à lui, sors de mon sac un livre... les nouveaux intellos précaires, croise les jambes et commence ainsi à me masser le clitoris pour parvenir à avoir un orgasme.
Je me casse le visage derrière mon livre, un peu trop petit - je devrais penser à avoir un journal pour les prochaines fois.
Je me mords les lèvres pour ne pas gémir... ma respiration accélère.
- je vais venir, je vais jouir, j'ai toutes mes pensées pour mon Maître, je vais réussir Maître, pour vous, je vais jouir dans le métro... Maître, je viens, je viens oui!
J'ai une secousse dans ma jambe, laisse échapper un faible gémissement... pose mon livre sur mes genoux, ferme les yeux.
Lorsque je les ouvre, l'homme me regarde fixement.
- Vous allez bien ?
- Oui, merci
Je me sens rougir, je suis remplie de honte... je me sens licencieuse, perverse, dévergondée, libertine.
en souriant, il me lance : - Trop bien, peut-être ?
Je me lève... je ne sais plus où me mettre. Je panique, si il me connaît, ou me reconnaît, j'arrive à ma station habituelle....
Lorsque le métro s'arrête, je descend, lui aussi, il me suit je crois...
Je le sens à ma hauteur, mes joues, mon sexe me brûlent , je suis endiablée.
Il me sourit : - J'aurais pu vous aider !
Je suis confuse, troublée, déconfite, consternée, scandaleuse...
Je presse le pas, sans lui répondre, je sors de la station de métro pour entrer et me noyer au Monoprix.
Sûre qu'il n'est pas derrière moi, je rejoins mon bureau.
J'ai réussi mon premier défi. J'ai eu honte comme jamais, j'ai peur... mais quel bonheur de soumise de pouvoir raconter ma réussite à Maître. A (je m' autorise à l'écrire sur le blog)
Texte : copyright Harmony. Vous ne pouvez les reproduire sans notre autorisation. Ce texte a été écrit le 16 septembre 2009.
Lire de l'Erotisme... Vénus Erotica
J'aime avant de m'endormir, nue sur le dos, les jambes largement écartées et pensant à mon Maitre, lire quelques pages érotiques mais j'aime aussi dans le métro m'y plonger : Qui imaginerait que la dame en tailleur stricte, s'excite en lisant de charmantes pages roses ?
J'avoue aimer la poésie, la belle littérature et la littérature érotique.
Je vous proposerai de temps en temps de partager quelques-uns de mes livres préférés.
N'hésitez-pas à me donner votre avis de lecteurs ou à me proposer des titres : le premier de ma liste : Vénus erotica d'Anaïs Nin en livre de poche.
J'avoue aimer la poésie, la belle littérature et la littérature érotique.
Je vous proposerai de temps en temps de partager quelques-uns de mes livres préférés.
N'hésitez-pas à me donner votre avis de lecteurs ou à me proposer des titres : le premier de ma liste : Vénus erotica d'Anaïs Nin en livre de poche.
En 1940, Anaïs a besoin de travailler, c'est pour un dollar, la page qu'elle se lancera dans l'écriture de ces petits contes érotiques.
D'un érotisme fin, avec beaucoup d'imagination, Anaïs nous fait découvrir la sensualité, la perversité, l'érotisme, la sexualité...
D'un érotisme fin, avec beaucoup d'imagination, Anaïs nous fait découvrir la sensualité, la perversité, l'érotisme, la sexualité...
C 'est de la très belle littérature, du très bel érotisme.
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