Ma promenade dans la lande fut merveilleuse et douloureuse...
Comme vous le souhaitiez, je suis partie nus pieds sur les chemins caillouteux. Á chaque croisement, j'ai abandonné un vêtement, rapidement et impudiquement je me suis vite retrouvée totalement nue.
Comment me protéger ? Comment dissimuler ma chair nue, il me fallait vous attendre...
Vous aviez promis de venir me rechercher avec une cape... mais dans combien de temps ? Il ne me restait — je craignais de rencontrer quelques bergers — pour cacher ma nudité, que ces énormes et déchirants buissons d'ajoncs dorés, c'est là que je me suis réfugiée et c'est là que je fus caressée à sang par les ajoncs.
J'ai aimé vous offrir ces griffures de la nature. Votre soumise en sang.
Journal intime de l'exploration D/s. Amoureuse de la vie, de l'Homme de ses qualités, de ses ombres.Il y a eu ma découverte d'un monde de l'ombre, d'envies inavouées puis il y eu une rencontre plus étrange.. et Il est devenu est mon guide. Il ressemble à ML, à O. Oui, cet homme existe, Il est ici chez Celui.Il vous semblera être ici, distant, lointain, impossible. Sans CELUI, Harmony n'aurait jamais franchit ces portes et surtout ne serait pas épanouie, heureuse et libre.
dimanche 16 novembre 2014
Pour son bon plaisir...
Ecrit Vendredi 19 mars 2010
Pour ma part, le jeu érotique est un bonheur amoureux et aussi une activité thérapeutique physique et psychologique.
Continuellement bondissante, débordée, stressée professionnellement, n'ayant pas le temps de me défouler en faisant un marathon par semaine, ni l'envie de me shooter de petites pilules multicolores, j'ai choisi un sport coquin. Je me réserve de belles séances d'activités sexuelles où je peux me laisser aller...Cela peut paraitre étrange mais c'est ainsi que je me ressource. J'ai trouvé dans ces activités sexuelles un défoulement, une véritable décharge d'adrénaline.
Mais ne vous y trompez pas, cela passe d'abord par mon imagination et je me consacre à ces amusements avec un seul partenaire... mon Maître M.L.
Maître M.L. est un maitre délicat, et raffiné...Il possède quantité de douceur et de persuasion. Il me rassure, me protège.
Entre nous il y a peu de code : nous nous vouvoyions, je l'appelle M.L.et il m'engage et m'écoute sans impatiente. Mes opinions sur la soumission mais aussi ma vision de la société etc... Nous passons des heures à dialoguer de tout. Je ne sais si sa méthode est classique — peut m'importe — mais elle semble agir sur moi. Je ne sais rien lui refuser, ce qui me fait perdre mes repères.
Mais quoi d'étonnant ? Il est normal, il me semble, que des femmes qui s'adonnent aux jeux sexuels "normaux" — aiment à pimenter subtilement d' une pincée de sexe animal. Cela fait un bien fou, comme une décharge d’adrénaline.
C'est dans cet optique que je me suis livrée à M.L. et accepte quasi tout docilement pour NOTRE plaisir. Mon Maître adore me voir jouir car il est très soucieux de mon bonheur et de mon plaisir, autant que je le suis du sien et de mon plaisir de la servir. Je suis sa soumise, son esclave, sa jument, son asservie et pourtant libre.
Ma soumission, je la veux pour M.L. belle et rebelle. Je suis à lui, librement sans contrainte, pour notre plaisir, en musique, au diapason, en harmonie.
Vous le savez je vous l'ai souvent dit... mon Maître me punit rarement, mais chaque fois qu'il le doit, il le fait. Je cherche, le plus possible, à éviter la punition, car je la trouve trop décevante, la preuve de mon échec à le servir. Mais ne vous inquiétez pas, il ne se prive pas de plaisir : fessée, bondage, pinces, plug... etc. Nul besoin d'attendre de devoir me punir, il me manipule à loisir juste pour son "bon plaisir".
Pour ma part, le jeu érotique est un bonheur amoureux et aussi une activité thérapeutique physique et psychologique.
Continuellement bondissante, débordée, stressée professionnellement, n'ayant pas le temps de me défouler en faisant un marathon par semaine, ni l'envie de me shooter de petites pilules multicolores, j'ai choisi un sport coquin. Je me réserve de belles séances d'activités sexuelles où je peux me laisser aller...Cela peut paraitre étrange mais c'est ainsi que je me ressource. J'ai trouvé dans ces activités sexuelles un défoulement, une véritable décharge d'adrénaline.
Mais ne vous y trompez pas, cela passe d'abord par mon imagination et je me consacre à ces amusements avec un seul partenaire... mon Maître M.L.
Maître M.L. est un maitre délicat, et raffiné...Il possède quantité de douceur et de persuasion. Il me rassure, me protège.
Entre nous il y a peu de code : nous nous vouvoyions, je l'appelle M.L.et il m'engage et m'écoute sans impatiente. Mes opinions sur la soumission mais aussi ma vision de la société etc... Nous passons des heures à dialoguer de tout. Je ne sais si sa méthode est classique — peut m'importe — mais elle semble agir sur moi. Je ne sais rien lui refuser, ce qui me fait perdre mes repères.
Mais quoi d'étonnant ? Il est normal, il me semble, que des femmes qui s'adonnent aux jeux sexuels "normaux" — aiment à pimenter subtilement d' une pincée de sexe animal. Cela fait un bien fou, comme une décharge d’adrénaline.
C'est dans cet optique que je me suis livrée à M.L. et accepte quasi tout docilement pour NOTRE plaisir. Mon Maître adore me voir jouir car il est très soucieux de mon bonheur et de mon plaisir, autant que je le suis du sien et de mon plaisir de la servir. Je suis sa soumise, son esclave, sa jument, son asservie et pourtant libre.
Ma soumission, je la veux pour M.L. belle et rebelle. Je suis à lui, librement sans contrainte, pour notre plaisir, en musique, au diapason, en harmonie.
Vous le savez je vous l'ai souvent dit... mon Maître me punit rarement, mais chaque fois qu'il le doit, il le fait. Je cherche, le plus possible, à éviter la punition, car je la trouve trop décevante, la preuve de mon échec à le servir. Mais ne vous inquiétez pas, il ne se prive pas de plaisir : fessée, bondage, pinces, plug... etc. Nul besoin d'attendre de devoir me punir, il me manipule à loisir juste pour son "bon plaisir".
A. nous aiment toutes les deux...
Ce texte a été écrit en Octobre 2009.
Maître A, mon Maître, je devrais dire notre Maître est un homme particulier...
Capable de passions extrèmes, il ne mesure pas ses sentiments et s'engage dans des relations fulgurantes.
Lorsqu'il a accepté que je devienne sa soumise, il m'a dit combien, il serait exigeant, combien, il serait ferme...
il me prevenait qu'il ne supportait pas l'à peu près et que nous nous engagions pour longtemps et pour quelques choses de difficile mais qui deviendrait merveilleux, sublime si je me donnais à fond.
Alors portée par son enthousiasme, j'ai plongé.
Je suis devenue la soumise, je devrais dire l'apprentie-soumise de Maître A...
Mais Maître A exige autant d'engagement de ma part que celui dont il fait part.
Il veut que chaque minute de mon temps libre, lui soit entièrement consacrée. Il sait que j'ai une carrière, une vie privée et il les respecte mais mon temps libre est à lui, comme je suis à lui. Pas une minute de mes loisirs, ne doit lui échapper. Si je ne les lui consacre pas toutes, il les contrôle... je dois lui demander de valider mon emploi du temps.
Mais en échange, mon Maître m'éduque, me gâte. je suis l'objet de tous ses soins. Ses jours sont occupés à m'apporter tendresse, amour, fermeté, élegante, performance, perfection, défi.
Ce qui ne va pas sans souffrances, douleurs ou peines. Mon corps est entièrement dépendant de ses caresses, de ses ordres, de ses défis... Mon esprit lui appartient.
Aujourd'hui, je fais en sorte de guérir une blessure... profonde, sanglante.
Je n'ai pas été giflée, mais pire, pas été fouettée, pire
Pas été ligotée, pas été violée, ou humiliée pire.
Mon Maître vient de me dire que je devrais passer mon prochain week-end de libre, donc normalement entièrement à son service en compagnie de son second amour. C'est le mot qu'il a utiliser.
Il avait un large sourire :
- nous passerons notre week-end tous les trois à la campagne.
- Maître, votre .... je ne pouvais pas le prononcer
- Oui, ma chère soumise, mon second amour...
- Mais
- Oui, tu devras l'aimer , je l'aime autant que je t'aime, je ne peux plus imaginer que vous soyez séparées.
- Maître...
- Je sais, mais il le faut pour notre bonheur.
Je venais d'accepter de partager mon Maître ! Avais-je le choix pouvais-je lui imposer un choix... Je me devais de rencontrer, d'aimer celle qu'il appelait son second Amour. Je ne pouvais faire de peine à Maître A puisque cela était son plaisir, je l'aimerais et lui serais dévouée comme je l'étais à mon Maître.
Donc l'heure est arrivée. Nous partons à la campagne. Maître est venue me chercher, je saute dans la voiture... Je vais oublier la femme, la pro, pour devenir pendant trois jours durant la soumise à temps complet de Maître A, quel bonheur !
- Chère B, vous savez combien, je vous aime...
- Maitre, je le sais et mesure mon bonheur !
- Bn je voudrais que vous aimiez mon second amour comme vous m'aimez... acceptez, pour moi ?
- Maître vous savez que je ne vous refuse rien, je ne peux pas. J'aimerais qui vous souhaitez de voir aimer...
- B, je savais que vous accepteriez , je voudrais aussi que vous acceptiez encore un sacrifice, vous l'aimerez, oui, vous me le promettez mais j'aimerai aussi que vous viviez à ces côtés... pendant les trois prochains jours.
Pendant ces trois jours où je vous aurais toutes les deux ...
- Maitre, c'est donc une autre femme...
- Soumise, oui, une femelle comme vous qui frémit lorsque je m'approche d'elle. Elle aime que ma main lui frappe la croup, que je caresse ses cuisses... elle s'exalte lorsque je lui palpe les mamelles, comme pour vous Soumise B, je suis la source de son plaisir.
Comme avec vous, j'aime sa soumission, son allure, son impulsion... son corps, ses muscles...
- Maitre ?
- Non, soumise B, je ne saurais dire qui de vous je suis le plus épris... l'absence de l'autre ou de l'autre m'est également pénible...
- Promettez-moi de l'aimer et de vivre en harmonie avec elle... Soumise B, vous me le promettez...
Bien sûr, que je lui promettais, je l'aimais, je m'étais soumise ...
- Nous arrivons, oui, soumise, ce château, je me le suis offert pour pouvoir vous y installer toutes les deux... vous pourrez profitter de la campagne environnante, personne ne vit aux alentour... vos promenandes ne seront pas perturbées.
- Maitre, ce château est magnifique...
- Vous n'avre encore rien vu du donjon, équipé... croix, poulies, pilori... rien ne vous manquera... Mais venez visiter ce dont je suis le plus fièr. Venez ce sont vos appartements à vous mes soumises. J'y ai installé tout ce que l'on peut espérer de mieux pour votre bien-être être : climatisation, piscine, jaccuzi....
- Maître, me présenterez-vous bientôt ma compagne...
- Oui Soumise B, venez...
Maitre A, me prit le bras et nous fûmes bientôt dans un lieu étrange...Un lieu qui sentait ... j'avais du mal à dire... qui sentait l'animal. Oui, bien, sur, je savais, je l'aimais cette odeur... c'était celle que j'aimais tant celle qui me faisait me passionner pour...
- Ma chère Soumise, vous rêvez, venez...
- Maitre, vous avez dit que je devrais vivre avec...
- Oui, Soumise B, vivre avec, partager les lieux... vivre comme à l'unisson. En sœur jumelles, car je vous aime toutes deux pareille.
- Maitre, je vous suis.
Je vis soudain ma soeur de soumission, j'amais je n'avais vu plus belle femelle... Je compris vite pourquoi, Maître A l'aimait. Ses yeux, sa croupe, sa musculation, son allure... ses jambes.
En me voyant, elle se figeat... elle aussi découvrait, flairait la seconde aimée. Elle aussi me dévisageait...
Je m'approchais...
- Oui, saluez là, je vous présente Velika (Grande en russe) me dit Maître avec tant d'amour dans la voix que j'en eu de la peine.
Je m'approchais de Velika et lui mumurrait à l'oreille.
-Velika, je suis soumise B, je vais vous aimez comme j'aime Maître A.
Je vis dans ses yeux de la tendresse, elle m'aimerait aussi, j'en était sure. Puis ma main caressa ses naseaux, Velika était une superbe jument bai. je ne pouvait plus la quitter.
Maitre A eut un sourire, palpa la croupe de Velika et m'embrassa.
- Je le savais, je suis le plus heureux des hommes, Soumise B. Je vous laisse faire connaissance et vous installer.
Je reviendrais pour le diner vers 20H30.
Je restais là collée au flanc de Velika. Je la sentais tendue mais pleine d'envie de me faire confiance.
A lire trés vite ici. Ma vie aux côté de Velika.
Maître A, mon Maître, je devrais dire notre Maître est un homme particulier...
Capable de passions extrèmes, il ne mesure pas ses sentiments et s'engage dans des relations fulgurantes.
Lorsqu'il a accepté que je devienne sa soumise, il m'a dit combien, il serait exigeant, combien, il serait ferme...
il me prevenait qu'il ne supportait pas l'à peu près et que nous nous engagions pour longtemps et pour quelques choses de difficile mais qui deviendrait merveilleux, sublime si je me donnais à fond.
Alors portée par son enthousiasme, j'ai plongé.
Je suis devenue la soumise, je devrais dire l'apprentie-soumise de Maître A...
Mais Maître A exige autant d'engagement de ma part que celui dont il fait part.
Il veut que chaque minute de mon temps libre, lui soit entièrement consacrée. Il sait que j'ai une carrière, une vie privée et il les respecte mais mon temps libre est à lui, comme je suis à lui. Pas une minute de mes loisirs, ne doit lui échapper. Si je ne les lui consacre pas toutes, il les contrôle... je dois lui demander de valider mon emploi du temps.
Mais en échange, mon Maître m'éduque, me gâte. je suis l'objet de tous ses soins. Ses jours sont occupés à m'apporter tendresse, amour, fermeté, élegante, performance, perfection, défi.
Ce qui ne va pas sans souffrances, douleurs ou peines. Mon corps est entièrement dépendant de ses caresses, de ses ordres, de ses défis... Mon esprit lui appartient.
Aujourd'hui, je fais en sorte de guérir une blessure... profonde, sanglante.
Je n'ai pas été giflée, mais pire, pas été fouettée, pire
Pas été ligotée, pas été violée, ou humiliée pire.
Mon Maître vient de me dire que je devrais passer mon prochain week-end de libre, donc normalement entièrement à son service en compagnie de son second amour. C'est le mot qu'il a utiliser.
Il avait un large sourire :
- nous passerons notre week-end tous les trois à la campagne.
- Maître, votre .... je ne pouvais pas le prononcer
- Oui, ma chère soumise, mon second amour...
- Mais
- Oui, tu devras l'aimer , je l'aime autant que je t'aime, je ne peux plus imaginer que vous soyez séparées.
- Maître...
- Je sais, mais il le faut pour notre bonheur.
Je venais d'accepter de partager mon Maître ! Avais-je le choix pouvais-je lui imposer un choix... Je me devais de rencontrer, d'aimer celle qu'il appelait son second Amour. Je ne pouvais faire de peine à Maître A puisque cela était son plaisir, je l'aimerais et lui serais dévouée comme je l'étais à mon Maître.
Donc l'heure est arrivée. Nous partons à la campagne. Maître est venue me chercher, je saute dans la voiture... Je vais oublier la femme, la pro, pour devenir pendant trois jours durant la soumise à temps complet de Maître A, quel bonheur !
- Chère B, vous savez combien, je vous aime...
- Maitre, je le sais et mesure mon bonheur !
- Bn je voudrais que vous aimiez mon second amour comme vous m'aimez... acceptez, pour moi ?
- Maître vous savez que je ne vous refuse rien, je ne peux pas. J'aimerais qui vous souhaitez de voir aimer...
- B, je savais que vous accepteriez , je voudrais aussi que vous acceptiez encore un sacrifice, vous l'aimerez, oui, vous me le promettez mais j'aimerai aussi que vous viviez à ces côtés... pendant les trois prochains jours.
Pendant ces trois jours où je vous aurais toutes les deux ...
- Maitre, c'est donc une autre femme...
- Soumise, oui, une femelle comme vous qui frémit lorsque je m'approche d'elle. Elle aime que ma main lui frappe la croup, que je caresse ses cuisses... elle s'exalte lorsque je lui palpe les mamelles, comme pour vous Soumise B, je suis la source de son plaisir.
Comme avec vous, j'aime sa soumission, son allure, son impulsion... son corps, ses muscles...
- Maitre ?
- Non, soumise B, je ne saurais dire qui de vous je suis le plus épris... l'absence de l'autre ou de l'autre m'est également pénible...
- Promettez-moi de l'aimer et de vivre en harmonie avec elle... Soumise B, vous me le promettez...
Bien sûr, que je lui promettais, je l'aimais, je m'étais soumise ...
- Nous arrivons, oui, soumise, ce château, je me le suis offert pour pouvoir vous y installer toutes les deux... vous pourrez profitter de la campagne environnante, personne ne vit aux alentour... vos promenandes ne seront pas perturbées.
- Maitre, ce château est magnifique...
- Vous n'avre encore rien vu du donjon, équipé... croix, poulies, pilori... rien ne vous manquera... Mais venez visiter ce dont je suis le plus fièr. Venez ce sont vos appartements à vous mes soumises. J'y ai installé tout ce que l'on peut espérer de mieux pour votre bien-être être : climatisation, piscine, jaccuzi....
- Maître, me présenterez-vous bientôt ma compagne...
- Oui Soumise B, venez...
Maitre A, me prit le bras et nous fûmes bientôt dans un lieu étrange...Un lieu qui sentait ... j'avais du mal à dire... qui sentait l'animal. Oui, bien, sur, je savais, je l'aimais cette odeur... c'était celle que j'aimais tant celle qui me faisait me passionner pour...
- Ma chère Soumise, vous rêvez, venez...
- Maitre, vous avez dit que je devrais vivre avec...
- Oui, Soumise B, vivre avec, partager les lieux... vivre comme à l'unisson. En sœur jumelles, car je vous aime toutes deux pareille.
- Maitre, je vous suis.
Je vis soudain ma soeur de soumission, j'amais je n'avais vu plus belle femelle... Je compris vite pourquoi, Maître A l'aimait. Ses yeux, sa croupe, sa musculation, son allure... ses jambes.
En me voyant, elle se figeat... elle aussi découvrait, flairait la seconde aimée. Elle aussi me dévisageait...
Je m'approchais...
- Oui, saluez là, je vous présente Velika (Grande en russe) me dit Maître avec tant d'amour dans la voix que j'en eu de la peine.
Je m'approchais de Velika et lui mumurrait à l'oreille.
-Velika, je suis soumise B, je vais vous aimez comme j'aime Maître A.
Je vis dans ses yeux de la tendresse, elle m'aimerait aussi, j'en était sure. Puis ma main caressa ses naseaux, Velika était une superbe jument bai. je ne pouvait plus la quitter.
Maitre A eut un sourire, palpa la croupe de Velika et m'embrassa.
- Je le savais, je suis le plus heureux des hommes, Soumise B. Je vous laisse faire connaissance et vous installer.
Je reviendrais pour le diner vers 20H30.
Je restais là collée au flanc de Velika. Je la sentais tendue mais pleine d'envie de me faire confiance.
A lire trés vite ici. Ma vie aux côté de Velika.
samedi 15 novembre 2014
Je vous aime, je vous désire
Il me semble que je ne serais jamais capable, quelle que soit la langue que j'utilise l'anglais, le français, l'espagnol... d'écrire et de chanter si doux, si juste, si fort, la soumission, l'abandon. Il est vrai que nous sommes de plus en plus habitués à nous satisfaire de raccourcis sans prévenance : le texto n'est en effet pas forcément le plus adapté à l'amour courtois.
Pourquoi tenter, lorsque l'ode existe, risquer de ne pas faire mieux ?
J'oublie toute velléité créatrice et emprunte ses vers à Othon. Je me pose aux pieds de My Lord et lui lis doucement ce verelay. Mais ne vous y trompez pas ces mots au goût de miel, n'ont d'autres buts que d'éveiller les sens de My Lord, de l'envelopper d'un doux nuage de volupté ainsi paisible, il aura tout loisir de rêver, d'imaginer... de se laisser aller dans un de ces moments où l 'imaginaire et le réel ne font plus qu'un.
Pourtant, il n'oublie pas que gentes dames et damoiseaux vivent au donjon et n'ignore rien des supplices du moyen âge... Les tortures et supplices sont particulièrement cruels, l'imagination des bourreaux était sans limite.
Othon de Grandson (XIVe siècle) — Je vous aime, je vous désire
Je vous aime, je vous desir,
Je vous vueil doubter et servir,
Je suy vostrë ou que je soye,
Je ne puis sanz vous avoir joye,
Je puis par vous vivre et morir.
Onques si fort ne vous amay,
Onques tant ne vous desiray
De tout entier le cuer de moy.
Vostre lige suy et seray,
Jamaiz autre ne serviray,
Je le vous jure par ma foy.
Loyal amour me fait sentir,
En penser et en souvenir,
Plus que onques senti n’avoye,
Car il n’est riens que sanz vous voye
En quoy mon cuer prengne plaisir.
Je vous aime, je vous desir,
Je vous vueil doubter et servir,
Je suy vostrë ou que je soye,
Je ne puis sanz vous avoir joye,
Je puis par vous vivre et morir.
jeudi 13 novembre 2014
Ses mots, ses murmures, mes désirs...
Depuis des jours, des semaines : je rêve de ses mots, ses murmures, ses désirs... Je l'entends me dire à l'oreille à tout moment du jour ou de la nuit, partout au bureau, dans le métro, pendant que je déjeune, lorsque je m'endors ou me réveille...
J'aime tout ce qui affirme ton désir de m'appartenir. Il me plait que tu affiches ton desir et que tu affirmes ta soumission. Je savoure toute ta perversion.
Parce que c est moi et parce que c est toi...Simplement et naturellement viens ramper et suplier, me lécher comme tu aimes et dormir à mes pieds. Viens donner ta chair aussi souvent que tu le souhaites
Ne retiens rien.. crie-moi ton appartenance. Je te veux déchainée et t'enchaînant, tremblante d'excitation et dévorée d'envie...
Je te veux bâillonnée et bavante.. que ton miel inondes tes mamelles de femelle et tes cuisses ouvertes. Totalement impudique et offerte, ne sachant plus où lécher sucer caresser donner ramper... ne désirant plus que cette vie de nudité et d'abandon.
Tu mériteras des baisers mon esclave, mes baisers mouillés, mes baisers de cuir : le fouet, la cravache. Tu seras explorée mes doigts, mes mains, ma langue, mes doigts, ma queue. Je vais tout dévorer, tout remplir, tout posseder : ta bouche, ton sexe, ton cul.
Tu seras comme un arc tendu : cheveux tirés, cambrée, dilatée, pincée, mordue, étirée, pénétrée, douchée, inondée, suspendue, encordée, encagée...
Ta soumission sera totale et absolue mais toujours volontaire.
Tu es mienne totalement, soit paisible, sereine, prends ton temps, sois gourmande, ne te refuse plus rien, n'aies plus peur, laisses toi m'obéir, accepte que le collier de cuir fasse de toi l'animale que tu désires libérer.
Je veux être fier de te posséder toi et je sais que je le serais. Tu es ma chose, ma catin, ma princesse, ma chatte, mon scarabée, mon esclave, mon animale, ma chienne, oui tu es ma putain chérie.
Chaque jour, je sais que tu avanceras même les yeux bandés sur ce chemin que nous désirons suivre et que j'éclairerai .
Je te possède, t'emporte, te protège car je suis le Tien quoi que tu fasses tu sais que je suis ton A...
© le texte appartient à Harmony et à ce Lui pour qui, j'écris.
J'aime tout ce qui affirme ton désir de m'appartenir. Il me plait que tu affiches ton desir et que tu affirmes ta soumission. Je savoure toute ta perversion.
Parce que c est moi et parce que c est toi...Simplement et naturellement viens ramper et suplier, me lécher comme tu aimes et dormir à mes pieds. Viens donner ta chair aussi souvent que tu le souhaites
Ne retiens rien.. crie-moi ton appartenance. Je te veux déchainée et t'enchaînant, tremblante d'excitation et dévorée d'envie...
Je te veux bâillonnée et bavante.. que ton miel inondes tes mamelles de femelle et tes cuisses ouvertes. Totalement impudique et offerte, ne sachant plus où lécher sucer caresser donner ramper... ne désirant plus que cette vie de nudité et d'abandon.
Tu mériteras des baisers mon esclave, mes baisers mouillés, mes baisers de cuir : le fouet, la cravache. Tu seras explorée mes doigts, mes mains, ma langue, mes doigts, ma queue. Je vais tout dévorer, tout remplir, tout posseder : ta bouche, ton sexe, ton cul.
Tu seras comme un arc tendu : cheveux tirés, cambrée, dilatée, pincée, mordue, étirée, pénétrée, douchée, inondée, suspendue, encordée, encagée...
Ta soumission sera totale et absolue mais toujours volontaire.
Tu es mienne totalement, soit paisible, sereine, prends ton temps, sois gourmande, ne te refuse plus rien, n'aies plus peur, laisses toi m'obéir, accepte que le collier de cuir fasse de toi l'animale que tu désires libérer.
Je veux être fier de te posséder toi et je sais que je le serais. Tu es ma chose, ma catin, ma princesse, ma chatte, mon scarabée, mon esclave, mon animale, ma chienne, oui tu es ma putain chérie.
Chaque jour, je sais que tu avanceras même les yeux bandés sur ce chemin que nous désirons suivre et que j'éclairerai .
Je te possède, t'emporte, te protège car je suis le Tien quoi que tu fasses tu sais que je suis ton A...
© le texte appartient à Harmony et à ce Lui pour qui, j'écris.
mercredi 12 novembre 2014
Vous inspirez des rêves...
Je continue de croire que je ne suis pas masochiste, que j'ai peur de la douleur, mais que si j'y trouve satisfaction c'est qu'elle m'est moyen de faire don.
J'ai récemment fait un nouveau rêve qui me fit clairement comprendre mon fonctionnement :
J'avais passé la nuit avec vous et en vous réveillant, vous n'aviez pas eu de mots autre que :
J'ai récemment fait un nouveau rêve qui me fit clairement comprendre mon fonctionnement :
J'avais passé la nuit avec vous et en vous réveillant, vous n'aviez pas eu de mots autre que :
— Bonjour Ma Chose, comment va ma catin, mon animale, mon scarabée ?
Sans me laisser le temps de répondre, vous m avez attachée en x aux coins du lit et vous vous êtes assis à mes côtés.
— Ma petite catin, tu vas choisir comment tu supporteras tes prochaines heures... à toi de décider de notre journée : Soit je te mets des pinces progressives sur les tétons et tes lèvres intimes , je reviens te voir toutes les 15mm et je durcis à chaque fois la morsure des pinces et autres tortures que mon imagination inventera... Je sais tu finiras par pleurer alors je boirais tes larmes et au bout de ces 3h de souffrances ... Je te câlinerai pour la souffrance reçue.
Je sais tu n es pas masochiste trois heures c est long et ces petites pinces finiront par te faire très mal . Mais tu as le choix ...
Si tu préfères, je te laisse là tranquillement pendant trois heures ou plus et m'en vais pour te laisser tranquille.Tu as 15 minutes pour me donner ton choix . Je vais nous faire un thé.
Si tu préfères, je te laisse là tranquillement pendant trois heures ou plus et m'en vais pour te laisser tranquille.Tu as 15 minutes pour me donner ton choix . Je vais nous faire un thé.
Je n'ai pas eu besoin de 15 mm pour décider de souffrir pour vous...Je savais immédiatement que ce que je désirai c'était vous offrir mon corps pour vous donner ce plaisir ambiguë de le torturer pour mieux le posséder, et de me faire ainsi souffrir pour me consoler et vous délecter de ma soumission.Vous disiez que souffrir me faisait grandir. Et ce plaisir de vous offrir ma souffrance m 'enivre
Vous reveniez avec du thé et pour chacune de vos gorgées bues j en recevais une de vos lèvres. Qu'il fut doux ce thé !
— Alors ma catin comment se passera ta matinée ?
— Maitre je choisis de vous offrir mes larmes à boire.
— Tu sais que je suis sans pitié à ce moment là, tes larmes seront le reflet de ta douleur offerte tu souffriras ma douce !
— Oui Maitre et cette douleur est pour vous et acceptée pour votre plaisir.
Vous m avez embrassé votre main est venue caressé mon sexe ...
— Tu es trempée petite animale, oh oui tu vas souffrir mon petit scarabée pour mon plaisir.
Vous avez enduit mes seins et mon sexe d huile chaude et parfumée, puis vous m'avez tendu et offert les pinces à embrasser…
… et je me suis réveillée trempée.
© Photo du site : http://bdsm-attirances.com/pinces-utilisation.html
© Mes textes sont offerts à Mon Maître et ils n'appartiennent qu'à Nous (Lui et Harmony; donc moi), et si, il les partage avec vous ici, c'est seulement ici... Les utiliser ailleurs sans notre autorisation est faire entorse au copyright.
samedi 8 novembre 2014
De nouveau, tant de désirs...
IL y a des moments où tout se met en place et où naissent et s'installent tant de désirs. Sous la glace, le corps bouillonnant. IL y a des jours où après quelques hésitations, après quelques reflexions, tout est clair, simple, naturel. J'en viens à me dire : ne dit plus rien, ne pense plus et laisse toi porter.
Sa responsabilité, il l'a prend, il accepte, car il sait trop bien ce don. IL respecte cet abandon. Il sait combien je suis vunérable à cet instant mais il sait aussi et se réjouis de savoir que je ne peux plus faire marche arrière, que je suis la sienne, envoutée, dépendante.
Il ose dire, il montre, raconte décrit ce que signifie être sa chose, son animale, sa chatte, sa chipie et bien plus ces mots qui n'appartiennent qu'à nous.
Je désire et je crains, mais je lui fais confiance et j'avance... vers le Mien.
© Photo harnais corset de cuir Demonia
mardi 4 novembre 2014
Besoin de Lui comme il a besoin d'air
Je suis une passionnée, une amoureuse certains diront une fusionnelle : ma conception du lien résumé peut être dit ainsi : la laisse attache autant le collier que la main qui la tient *
Comment vivre cette complicité, cette confiance, cette dépendance heureuse de ma part sans tomber dans une dépendance qui sans êtes grave pour moi, ne soit affolante pour LUI ?
Comment vivre cette passion sans l'enfermer, sans l'étouffer... sans lui faire crainte pour sa liberté, son air, sa bulle ?
Quand lui dire ne suffit pas ! Est-il possible de feindre le détachement ?
Peut-il admettre que ce n'est pas grave ce besoin de lui ?
Dois-je choisir de m'éloigner, jouer le jeu, lui prouver que je peux me passer de LUI ?
Sourire, oui c'est facile... me tuer à l'écriture, ne rien lui dire, ne pas avouer qu'il me manque, m'endormir en avalant cette boule qui me descend dans la gorge, et laisser faire car je ne suis pas jalouse juste incroyablement fusionnelle. Qu'importe où il est, ce qu'il fait j'ai confiance mais juste besoin de cette envahissement de moi par LUI.
Chut, ne lui répétez pas que j'ai besoin de Lui, comme il a besoin d'air, le savoir suffira t-il ?
* petit raccourci emprunté à Lulla, avec qui je partage souvent le point de vue.
Comment vivre cette complicité, cette confiance, cette dépendance heureuse de ma part sans tomber dans une dépendance qui sans êtes grave pour moi, ne soit affolante pour LUI ?
Comment vivre cette passion sans l'enfermer, sans l'étouffer... sans lui faire crainte pour sa liberté, son air, sa bulle ?
Quand lui dire ne suffit pas ! Est-il possible de feindre le détachement ?
Peut-il admettre que ce n'est pas grave ce besoin de lui ?
Dois-je choisir de m'éloigner, jouer le jeu, lui prouver que je peux me passer de LUI ?
Sourire, oui c'est facile... me tuer à l'écriture, ne rien lui dire, ne pas avouer qu'il me manque, m'endormir en avalant cette boule qui me descend dans la gorge, et laisser faire car je ne suis pas jalouse juste incroyablement fusionnelle. Qu'importe où il est, ce qu'il fait j'ai confiance mais juste besoin de cette envahissement de moi par LUI.
Chut, ne lui répétez pas que j'ai besoin de Lui, comme il a besoin d'air, le savoir suffira t-il ?
* petit raccourci emprunté à Lulla, avec qui je partage souvent le point de vue.
samedi 1 novembre 2014
Le bonheur d'une soumise espiègle...
Je ne cache pas ma passion pour le Japon et mon admiration pour la culture du Soleil levant. Il est vrai que j'ai un grand engouement pour la délicatesse des femmes de Gion, les Geiko.
Alors nul doute que ma vision de la soumission est aquarellée de ces qualités particulières que ces femmes exceptionnelles déploient : raffinement, discrétion, intelligence, elles brillent en musique, en dansent sont souvent très érudites, peuvent être polyglottes... et sont entièrement éduquées pour le plaisir de leur "protecteur".
Alors oui, j'avoue qu'il y a pour moi, une belle part de dévotion qui me fascine dans ce rôle séculaire de femmes japonaises.
J'aime à me souvenir des mots de Mineko Iwasaki : une geisha doit avoir la délicatesse d'une fleur ainsi que la force et la souplesse d'un saule mais elle disait aussi [...] quoique très belle, elle ne faisait pas recette. Il lui manquait cette légèreté mutine et cette espièglerie qui sont les ingrédients indispensables de la séduction chez une geiko. Car il ne lui suffit pas d’exceller dans son art, il faut aussi montrer de la passion, de l’enthousiasme, ne jamais ménager son temps ni sa peine et être capable de garder son calme au milieu des pires catastrophes.
J'avoue que c'est cet équilibre entre jeu, raffinement, humour, dévotion, admiration, désir excellence dans chacun des gestes offerts à mon Maître est un objectif ambitieux mais vers lequel je désire tendre.
C'est cette voie que je veux prendre avec plaisir malgré les efforts, l'abnégation,que je sais necessaire. Qu'il est doux et contraignant — ma perversité en est satisfaite — de savoir que c'est cela que je désire atteindre pour mon Maître, avec mon Maître.
Je pense qu'une soumise heureuse est la chose, la chatte espiègle de son Maître ferme et tendre, exigeant et bienveillant : le respecter, le servir, le taquiner, joueuse mais toujours respectueuse, elle garde ce recul, cette humour qui lui permet de glorifier son Maître sans lui laisser [ ou alors que quelques instants] attraper la grosse tête.
Alors bien sûre, il y a quelques nuances.... mais l'animale que je suis, désire être la geiko et le jouet sexuel de mon Maître car c'est bien ainsi que je serais une soumise espiègle heureuse.
© Illustration Suzuki Harunobu © Museum of Asian Arts Corfu, Greece, photography by New Color Photographic Printing Co, Ltd
© http://www.ilcastello.org/indicee.html
Mineko Iwasaki fut une Geiko très appréciée, honorée qui raconta son histoire dans le livre biogrpahique : Ma vie de Geisha en Livre de poche.
© Les textes restent la propriété d'Harmony et de Mon LUI. N'oubliez pas de nous demander l'autorisation si vous les recopiez.
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