dimanche 16 novembre 2014

A. nous aiment toutes les deux...

Ce texte a été écrit en Octobre 2009. 

Maître A, mon Maître, je devrais dire notre Maître est un homme particulier... 
Capable de passions extrèmes, il ne mesure pas ses sentiments et s'engage dans des relations  fulgurantes.
Lorsqu'il a accepté que je devienne sa soumise, il m'a dit combien, il serait exigeant, combien, il serait ferme...
il me prevenait qu'il ne supportait pas l'à peu près et que nous nous engagions pour longtemps et pour quelques choses de difficile mais qui deviendrait merveilleux, sublime si je me donnais à fond. 
Alors portée par son enthousiasme, j'ai plongé.
Je suis devenue la soumise, je devrais dire l'apprentie-soumise de Maître A...
Mais Maître A exige autant d'engagement de ma part que celui dont il fait part.
Il veut que chaque minute de mon temps libre, lui soit entièrement consacrée. Il sait que j'ai une carrière, une vie privée et il les respecte mais mon temps libre est à lui, comme je suis à lui. Pas une minute de mes loisirs, ne doit lui échapper. Si je ne les lui consacre pas toutes, il les contrôle... je dois lui demander de valider mon emploi du temps.
Mais en échange, mon Maître m'éduque, me gâte. je suis l'objet de tous ses soins. Ses jours sont occupés à m'apporter tendresse, amour, fermeté, élegante, performance, perfection, défi.
Ce qui ne va pas sans souffrances, douleurs ou peines. Mon corps est entièrement dépendant de ses caresses, de ses ordres, de ses défis... Mon esprit lui appartient.
Aujourd'hui, je fais en sorte de guérir une blessure... profonde, sanglante.
Je n'ai pas été giflée, mais pire, pas été fouettée, pire
Pas été ligotée, pas été violée, ou humiliée pire. 
Mon Maître vient de me dire que je devrais passer mon prochain week-end de libre, donc normalement entièrement à son service en compagnie de son second amour. C'est le mot qu'il a utiliser.
Il avait un large sourire :
- nous passerons notre week-end tous les trois à la campagne. 
- Maître, votre .... je ne pouvais pas le prononcer
- Oui, ma chère soumise, mon second amour...
- Mais 
- Oui, tu devras l'aimer , je l'aime autant que je t'aime, je ne peux plus imaginer que vous soyez séparées.
- Maître...
- Je sais, mais il le faut pour notre bonheur.

Je venais d'accepter de partager mon Maître ! Avais-je le choix pouvais-je lui imposer un choix... Je me devais de rencontrer, d'aimer celle qu'il appelait son second Amour. Je ne pouvais faire de peine à Maître A puisque cela était son plaisir, je l'aimerais et lui serais dévouée comme je l'étais à mon Maître. 

Donc l'heure est arrivée. Nous partons à la campagne. Maître est venue me chercher, je saute dans la voiture... Je vais oublier la femme, la pro, pour devenir pendant trois jours durant la soumise à temps complet de Maître A, quel bonheur !
- Chère B, vous savez combien, je vous aime...
- Maitre, je le sais et mesure mon bonheur !
- Bn je voudrais que vous aimiez mon second amour comme vous m'aimez... acceptez, pour moi ?
- Maître vous savez que je ne vous refuse rien, je ne peux pas. J'aimerais qui vous souhaitez de voir aimer...
- B, je savais que vous accepteriez , je voudrais aussi que vous acceptiez encore un sacrifice, vous l'aimerez, oui, vous me le promettez mais j'aimerai aussi que vous viviez à ces côtés... pendant les trois prochains jours.
Pendant ces trois jours où je vous aurais toutes les deux ...
- Maitre, c'est donc une autre femme...
- Soumise, oui, une femelle comme vous qui frémit lorsque je m'approche d'elle. Elle aime que ma main lui frappe la croup, que je caresse ses cuisses... elle s'exalte lorsque je lui palpe les mamelles, comme pour vous Soumise B, je suis la source de son plaisir.
Comme avec vous, j'aime sa soumission, son allure, son impulsion... son corps, ses muscles...
- Maitre ?
- Non, soumise B, je ne saurais dire qui de vous je suis le plus épris... l'absence de l'autre ou de l'autre m'est également pénible...
- Promettez-moi de l'aimer et de vivre en harmonie avec elle... Soumise B, vous me le promettez...

Bien sûr, que je lui promettais, je l'aimais, je m'étais soumise ...

- Nous arrivons, oui, soumise, ce château, je me le suis offert pour pouvoir vous y installer toutes les deux... vous pourrez profitter de la campagne environnante, personne ne vit aux alentour... vos promenandes ne seront pas  perturbées.
- Maitre, ce château est magnifique...
- Vous n'avre encore rien vu du donjon, équipé... croix, poulies, pilori... rien ne vous manquera... Mais venez visiter ce dont je suis le plus fièr. Venez ce sont vos appartements à vous mes soumises. J'y ai installé tout ce que l'on peut espérer de mieux pour votre bien-être être : climatisation, piscine, jaccuzi....
- Maître, me présenterez-vous bientôt ma compagne...
- Oui Soumise B, venez...
  Maitre A, me prit le bras et nous fûmes bientôt dans un lieu étrange...Un lieu qui sentait ... j'avais du mal à dire... qui sentait l'animal. Oui, bien, sur, je savais, je l'aimais cette odeur... c'était celle que j'aimais tant celle qui me faisait me passionner pour...
 - Ma chère Soumise, vous rêvez, venez...
- Maitre, vous avez dit que je devrais vivre avec...
- Oui, Soumise B, vivre avec, partager les lieux... vivre comme à l'unisson. En sœur jumelles, car je vous aime toutes deux pareille.
- Maitre, je vous suis.
 Je vis soudain ma soeur de soumission, j'amais je n'avais vu plus belle femelle... Je compris vite pourquoi, Maître A l'aimait. Ses yeux, sa croupe, sa musculation, son allure... ses jambes.
En me voyant, elle se figeat... elle aussi découvrait, flairait la seconde aimée. Elle aussi me dévisageait...
 Je m'approchais...
 - Oui, saluez là, je vous présente Velika (Grande en russe) me dit Maître avec tant d'amour dans la voix que j'en eu de la peine.
Je m'approchais de Velika et lui mumurrait à l'oreille.
-Velika, je suis soumise B, je vais vous aimez comme j'aime Maître A.
 Je vis dans ses yeux de la tendresse, elle m'aimerait aussi, j'en était sure. Puis ma main caressa ses naseaux, Velika était une superbe jument bai. je ne pouvait plus la quitter.
Maitre A eut un sourire, palpa la croupe de Velika et m'embrassa.

- Je le savais, je suis le plus heureux des hommes, Soumise B. Je vous laisse faire connaissance et vous installer.
Je reviendrais pour le diner vers 20H30.

Je restais là collée au flanc de Velika. Je la sentais tendue mais pleine d'envie de me faire confiance.

A lire trés vite ici. Ma vie aux côté de Velika. 


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