lundi 28 septembre 2009

Fantaisie au pays du fantasme... Faut-il matérialiser Maître A ?

Rêver un Maître, avoir un Maître virtuel, avoir un Maître par intérim, vivre avec son Maître... 
Voilà les possibilités qu'il faut envisager lorsque l'on fait le choix de sauter le pas... et que l'on s'apprête à vivre ses fantasme, à vivre sa fantaisie. 
Comment passer à l'acte ? 
Le plus simple pour moi, aurait été de l'imaginer ce Maître, de le créer de toutes pièces, de décrire ses réactions, ses habitudes, ses manies... alors que pouvait-il arriver ? 
Maître A est si parfait, si raffiné, si élégant,  si si qu'aucun homme ne peut rivaliser...  Maître A est si présent que l'homme qui prend sa place est dépersonalisé ? Maître A existe et soumise B est la plus heureuse des femmes. Maitre A est pluriel. C'est à dire qu'il n'est pas un homme mais plusieurs... ici, il puisse la philosophie (Merci le Squale) et ses mises en garde : "Le BDSM est un fabuleux amplificateur de sentiments … qu’ils soient positifs ou destructeurs.” 
Là il choisit un bijou, là il se laisse influencer et façonner par soumise B et son imagination débordante car en BDSM, le soumis n'est pas toujours celui qu'on pense. 
Maitre A passionne, fascine, anime, construit, bouscule, aime, punit soumise B. 
Comment réussira-t-elle à vivre son apprentissage de soumise ? 

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