J'imagine qu'à chaque rencontre, que chaque jour, je remette à Maître A le tableau des fautes commises.
Je garde ce petit carnet offert ou j'ai écris : Je m'engage moi, soumise B à noter ici l'ensemble de mes fautes sans chercher d'indulgence. Je proposerais les punitions à ces fautes sans être douce avec moi-même, ces punitions doivent me permettre de combler mes lacunes que je sais encore nombreuses.
Maître A me puniera fermement, sans se laisser attendrir car je le sais juste. Il veut que j'avance, que je devienne la soumise dont il est fier. Et pour cela il sera exigeant.
Je sais que ces punitions ne sont pas celles qu'il prefère mais Il les considère indispensable, c'est ce qu'il appelle mon dressage.
Maître A tient le plaisir de soumise B pour sa propriété, il est donc sous son contrôle... il donne chaque jour des consignes à soumiseB. Elle peut jouir ou pas. (cf Les plaisirs de soumise B).
CARNET DE PUNITIONS : chaque jour j'inscrit mes erreurs, mes réflexions et celles de mon Maître, les punitions que j'ai proposées à mon Maître, celles qu'il a modifiées...
Voici un petit extrait à titre d'exemple...
PREMIERE SEMAINE DE SOUMISSION
JOUR 1 - MARDI 18 AOÛT :
Premier jour de Soumission : Maitre A ne m'a pas punie exceptionnellement, il voulait me donner les bases de notre relation et le principe des punitions...
Ces punitions ne doivent pas être récherchées mais supportées comme une étape vers l'acquisition de régles de soumissions extrèmement rigoureuses.
La soumise de Maître A a une hygiène de vie et un comportement délicatement raffiné. C'est cela que je dois apprendre et donc ces punitions m'y aideront.
JOUR 2 - MERCREDI 19 AOÛT:
J'ai oublié de prévenir Maitre A par un rapide message par exemple"oqp", chaque fois, que pour des raisons professionnelles, je ne pouvais pas lui répondre dans l'immédiat. Maitre A ne supporte pas d'attendre, sans motif, mes réponses lors de nos conversations par mail ou sur msn.
La première fois que j'ai mis du temps à lui répondre, parce que j'avais du répondre à un collègue entré dans mon bureau, il m'a enseigné la règle. Il a montré que cela n'était pas acceptable. Et qu'il ne l'accepterait plus. Bien sûr, je l'ai approuvé comment avais-je pû le faire attendre... nous sommes des professionnels très occupés et notre temps est précieux, je dois profiter de son enseignement et ne pas lui faire perdre de temps. De plus, j'admets que cela est de la pure courtoisie et je me suis sentie réellement fautive.
Il a accepté comme punition que je connaisse ma première séance de cire chaude. Il me fera donc tomber une pluie de cire chaude sur mon coprs nu. je suppose que cela sera long et douloureux car j'ai eu le toupet de refaire la même erreur dans l'après midi.
Je devrais donc être chatiée pour deux fois la même erreur. Et là je conçois que la punition sera sévère...
La première fois pouvant se concevoir puisque je suis en éducation mais la seconde fois est de l'entêtement ou de la stupidité et Maître A ne peut l'accepter.
JOUR 3 - JEUDI 20 AOÛT
Ce matin, j'ai eu une audace éhontée : Maitre A m'avait demandé de porter aujourd'hui un string.
Dans un élan, j'ai pris la liberté de faire le trajet fesses nues, pour faire de la bicyclette pour me rendre à mon travail, mettant mon string dans mon sac en prenant mon vélo.
Je suis arrivée au bureau... émoustillée. Comment ai-je pû prendre une iniative pareille, m'exciter sans que Maitre A ne m'y autorise au préalable.
Alors qu'il a pris contact avec moi, pour notre conversation quotidienne par MSN, je lui est avoué être sans string et humide de désir. Une sévère punition était nécessaire. Il exigea que je me déconnecte immédiatement, que je remette le string, croise les jambes sous mon bureau et travaille. Je suis privé de lui pendant deux longues heures. Je ne peux me reconnecter avant midi.
Mais ma faute mérite une double punition : je serais donc punie encore en adoptant pour 15mm au moins la position de repentie.
Cette position : nue, jambes tendues et écartées, j'accroche mes mains à mes chevilles et reste ainsi sans plier les genoux.
Je ne suis décidément par encore parfaite et voilà que je viens de faire une nouvelle erreur magistrale.
Alors que j'avais à peine évoqué dans une discussion, la possibilité d'avoir des pratiques Uro.
J'ai cru bon de goûter mon urine au réveil pour savoir si j'étais capable de dépasser cette limite.
Je l'ai fait et je n'ai pas détesté... le goût n'était pas répugnant comme je le pensais...
Mais Maitre A à qui j'ai avoué cette tentation qu'il a qualifié de "Passage à l'acte" n'a pas du tout apprécié que je le fasse sans lui.
Et donc j'ai dû lui raconté dans le détail le fait :
j'ai bu l'équivalent d'un demi verre à vin, une tasse de the japonais. En deux reprises. Ce demi verre n'etait bien sûr qu'une partie infime de mon urine. "Maitre, cela n'ai pas trés élégant mais je me suis assise sur les toilettes mis sous moi, la tasse de thé... recueilli un peu de mon liquide puis termniner classiquement d'uriner. Je me suis levée, mise à genoux, pensé à vous et bu en deux fois le liquide."
J'ai du lui proposer une punition à la hauteur de mon audace. Puisque j'aime mon urine, je devrais lors de notre prochaine rencontre boire toute l'urine de ma première envie, et la boire en présence de mon maître et à quatre pattes à ses pieds.
De plus, lorsqu'il devra lui même satisfaire ce besoin, je l'accompagnerai, recueillerai dans mes mains jointes son liquide et le lapperai...
Mais Maitre A estime que cette audace est grande : aller m'initier seule, qu'il estime nécessaire de me battre. Il a évoqué le fouet.
De plus il m'a obligé à raconter cela sur le blog pour que tout le monde puisse le lire, alors que je n'osai même pas lui en parler car j'avais honte.
Maitre A ne m'a pas encore battue corporellement, j'appréhende sa sévérité.
Tous droits réservés © harmony . Qu'importe de savoir si, cela est revé, vécu par Harmony, ce qui importe ici c'est l'exploration de la dépendance, du dressage...